L’annonce est tombée le 29 avril dernier, en pleine période de confinement : Google Meet, service de visioconférence développé par la firme de Mountain View, évolue et s’ouvre au grand public.
Si le service se décline désormais dans une version gratuite, accessible à toute personne disposant d’un compte Google, celle-ci présente toutefois certaines limites. Tour d’horizon.
Comment fonctionne Google Meet ?
L’utilisation de Google Meet est relativement simple : pour organiser une session de visioconférence ou y participer, l’internaute doit se rendre sur le portail dédié et se connecter à son compte Google.
Une fois connecté au service, l’utilisateur y trouvera la liste des prochaines réunions, synchronisées à partir de son agenda Google. Pour rejoindre une discussion, il pourra alors soit sélectionner la réunion de son choix dans la liste, soit renseigner le code communiqué par l’organisateur dans le champ dédié. Et pour lancer, à son tour, une conversation, il lui suffira de cliquer sur « Démarrer une réunion » avant d’indiquer, lors de l’étape suivante, les coordonnées des participants à ajouter.
Formule payante ou version gratuite : quelles différences ?
Si la plupart des fonctionnalités proposées par la formule payante de Google Meet sont également comprises dans sa version gratuite (telles que le partage d’écran, la planification de rendez-vous ou encore le sous-titrage en temps réel), il y a néanmoins quelques différences à noter.
En effet, si la version professionnelle permet de réunir jusqu’à 250 participants lors d’une même visioconférence, le service est limité à 100 personnes maximum dans sa formule « grand public ». En outre, à partir du 30 septembre 2020, la durée maximale des sessions organisées avec la version gratuite de l’outil sera limitée à 60 minutes. Enfin, à compter de cette date, les fonctionnalités de
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